Entre nouveau procès de "faucheurs volontaires" et Grenelle 2 de l'environnement...
Je me souviens d'une des premières chansons que j'ai écoutée en boucle, enfant, en "45 tours", une chanson que son auteur, Georges Moustaki commençait par présenter ainsi :
"C'est une chanson pour les enfants qui naissent et qui vivent
entre l'acier et le bitume, entre le béton et l'asphalte
et qui ne sauront peut-être jamais que la Terre était un jardin."
entre l'acier et le bitume, entre le béton et l'asphalte
et qui ne sauront peut-être jamais que la Terre était un jardin."
Et puis ça faisait comme ça :
"Il y avait un jardin qu'on appelait la Terre
Il brillait au soleil comme un fruit défendu
Non ce n'était pas le paradis ni l'enfer
ni rien de déjà vu ou déja entendu
la la la la la la la la la
Il brillait au soleil comme un fruit défendu
Non ce n'était pas le paradis ni l'enfer
ni rien de déjà vu ou déja entendu
la la la la la la la la la
(...)
Où est-il ce jardin où nous aurions pu naître
Où nous aurions pu vivre insouciants et nus ?
Où est-il ce jardin toutes portes ouvertes
Que je cherche encore et que je ne trouve plus ?
La la la la la la la la la"
Où est-il ce jardin où nous aurions pu naître
Où nous aurions pu vivre insouciants et nus ?
Où est-il ce jardin toutes portes ouvertes
Que je cherche encore et que je ne trouve plus ?
La la la la la la la la la"
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