Le sourire du jour, c'est le sourire béat de Stella ; un mois demain, rencontrée pour la première fois aujourd'hui.
Et c'est le sourire radieux de son papa, que je connais depuis l'enfance et qui se reconnaîtra...
Merci à Véronique, la maman, pour cette petite "princesse", beau cadeau de la vie. Une nouvelle petite étoile dans notre galaxie.
vendredi 20 août 2010
vendredi 13 août 2010
Etes-vous paraskevidékatriaphobe ?
Si c'est le cas, vous risquez de ne pas apprécier cette journée, pas plus généralement qu'une autre, voire deux dans l'année. Car vous n'aimez pas, mais alors pas du tout, les "vendredi 13". Car si pour certains - encouragés par la Française des Jeux! - vendredi 13 rime avec jour de chance, pour d'autres, c'est le contraire... Une superstition qui pourrait être d'origine religieuse (vendredi, jour de la Passion et Judas, le 13e disciple).
Et pour ceux à qui l'info aurait échappé, je rappelle également que, depuis 1976, se célèbre le 13 août (à l'initiative du 1er "syndicat de gauchers" créé par un Américain) la journée "internationale" des gauchers. Cette année seront particulièrment mis à l'honneur les gauchers "contrariés". Ceux qu'on a voulu forcer à utiliser leur main droite, au moins pour écrire.
Pourquoi ? à cause de la symbolique négative traditionnellement attachée au côté gauche en général. Main gauche : main du diable ? Le seul mot de "gaucherie" pour désigner l'usage majoritaire de cette malheureuse main pour les tâches courantes évoque évidemment aussi la "maladresse" du mal-a-droit. Et pourtant, beaucoup d'objets conçus par des droitiers pour les droitiers requièrent des gauchers une certaine habileté, je dirais même plus une certaine adresse! Vous me suivez ?
Bon, oui, je l'avoue, je suis gauchère... et j'ai, là tout de suite, une grosse pensée solidaire, et forcément émue, pour les gauchers contrariés nés un vendredi 13...
Et pour ceux à qui l'info aurait échappé, je rappelle également que, depuis 1976, se célèbre le 13 août (à l'initiative du 1er "syndicat de gauchers" créé par un Américain) la journée "internationale" des gauchers. Cette année seront particulièrment mis à l'honneur les gauchers "contrariés". Ceux qu'on a voulu forcer à utiliser leur main droite, au moins pour écrire.
Pourquoi ? à cause de la symbolique négative traditionnellement attachée au côté gauche en général. Main gauche : main du diable ? Le seul mot de "gaucherie" pour désigner l'usage majoritaire de cette malheureuse main pour les tâches courantes évoque évidemment aussi la "maladresse" du mal-a-droit. Et pourtant, beaucoup d'objets conçus par des droitiers pour les droitiers requièrent des gauchers une certaine habileté, je dirais même plus une certaine adresse! Vous me suivez ?
Bon, oui, je l'avoue, je suis gauchère... et j'ai, là tout de suite, une grosse pensée solidaire, et forcément émue, pour les gauchers contrariés nés un vendredi 13...
mercredi 4 août 2010
Encore un peu d'éternité, SVP !
C'était il y a quelques jours mais il a fallu le temps que ça mûrisse... En même temps, on n'est pas vraiment
pressés quand il s'agit d'éternité. Car oui, à quelques heures d'intervalle, deux interlocuteurs différents me parlent d'éternité ! Etonnant, non ? D'autant que les deux fois, il y est question d'étreinte, même si le mot en lui-même ne figure que dans l'une des citations. Je ne vous fais pas attendre plus longtemps pour les partager avec vous.
La première est d'Arthur Rimbaud : "L'éternité, c'est la mer mêlée au soleil". Sensations. Pour moi qui aime autant la mer que la chaleur du soleil, ça tomberait bien...
Ensuite est venue une citation de Montherlant : "Eternité, c'est l'anagramme d'étreinte". Comme si l'époque avait besoin d'être rassurée ; besoin de chaleur et d'un peu (beaucoup) de tendresse dans ce monde de brutes ?
Alors, j'ai voulu creuser un peu, savoir ce que d'autres plumes avaient écrit sur le sujet. Et j'ai sélectionné un extrait des Misérables de Totor Gogo (normal, c'est un de mes romans fétiches...) :
"O ! être couchés côte à côte dans le même tombeau la main dans la main, et de temps en temps dans les ténèbres, nous caresser doucement un doigt, cela suffirait à mon éternité."
Pas mal non plus, non ? Mais moi qui considère un temps fini aussi inconcevable qu'un temps infini... comment finir ce billet ? "Qui vivra verra"... peut-être ?
pressés quand il s'agit d'éternité. Car oui, à quelques heures d'intervalle, deux interlocuteurs différents me parlent d'éternité ! Etonnant, non ? D'autant que les deux fois, il y est question d'étreinte, même si le mot en lui-même ne figure que dans l'une des citations. Je ne vous fais pas attendre plus longtemps pour les partager avec vous.
La première est d'Arthur Rimbaud : "L'éternité, c'est la mer mêlée au soleil". Sensations. Pour moi qui aime autant la mer que la chaleur du soleil, ça tomberait bien...
Ensuite est venue une citation de Montherlant : "Eternité, c'est l'anagramme d'étreinte". Comme si l'époque avait besoin d'être rassurée ; besoin de chaleur et d'un peu (beaucoup) de tendresse dans ce monde de brutes ?
Alors, j'ai voulu creuser un peu, savoir ce que d'autres plumes avaient écrit sur le sujet. Et j'ai sélectionné un extrait des Misérables de Totor Gogo (normal, c'est un de mes romans fétiches...) :
"O ! être couchés côte à côte dans le même tombeau la main dans la main, et de temps en temps dans les ténèbres, nous caresser doucement un doigt, cela suffirait à mon éternité."
Pas mal non plus, non ? Mais moi qui considère un temps fini aussi inconcevable qu'un temps infini... comment finir ce billet ? "Qui vivra verra"... peut-être ?
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